Entre 1987 et 2007, J.-C. Ballot a réalisé des reportages photographiques de villes dans le monde entier. Son regard sur le paysage urbain lui permet d'aborder la dimension scénique et symbolique de l'espace public, de parcourir la mémoire et l'histoire de la ville.
With charming urbanity and lightness of touch, Thierry Paquot argues the case for those few snatched moments of rest taken during the day in an elegantly illustrated book that will make a handsome gift for any occasion. This refreshingly original contribution to the literature of relaxation is a wonderful, sometimes erotic philosophical read that encourages us to cherish the age-old tradition of the siesta, which has ancient roots in antiquity yet is yielding even in Mediterranean lands to the tyranny of the 9-to-5 workday. Whether a heavy sleep or a five-minute doze, an afternoon nap or a mid-morning daydreaming, the siesta comes in many forms, all of which permit us to relax and reflect in the midst of a hectic daily schedule. More than that, the siesta represents the art of living ― an assertion of human autonomy in an increasingly corporatized and globalized culture. Each chapter muses on a different aspect of the siesta and celebrates the importance of “unconstructed” time as depicted in painting, literature, and philosophy throughout history. These moments of rest are a hidden muse responsible for many of our cultural monuments, and allow an intertwining of the intellectual and the erotic in everyday life. The book is punctuated with 16 illustrations depicting the art inspired by the siesta. The Art of the Siesta is a celebration of those fleeting moments when the mind is free to reflect, enjoy, and recover. As Paquot writes, “the siesta is a means for us to reclaim our own time, outside the clockmakers’ control. The siesta is our liberator.”
Dans les années 1970, on débattait partout d'Une société sans école ou de La Convivialité. Leur auteur, Ivan Illich (1926-2002), atypique, enseignant-voyageur, curieux de tout et de tous, a rédigé une oeuvre exigeante et originale, tant par le choix des thèmes que par leur traitement transdisciplinaire. Penseur critique de la société industrielle, il a démontré qu'au-delà d'un certain seuil, les institutions (l'Eglise, l'école, l'hôpital, les transports, etc.) se révèlent "contre-productives" : l'école désapprend, l'hôpital rend malade, les transports bouchonnent, etc. Son analyse de l'Eglise catholique, son histoire de l'Homo educandus, sa dénonciation de la théorie des besoins, ses réflexions sur le développement, la technique dévastatrice, l'abolition du genre, l'obligation du travail fantôme, la déconsidération de la langue maternelle au profit de la culture numérique, l'imposition de l'écran qui nous empêche de voir ce que l'on regarde, la perte de nos sens au nom d'une technologie toujours plus performante sont quelques-uns des thèmes qu'il aborde dans ses séminaires et ses courts essais. C'est à cette pensée stimulante et anticonformiste que ce livre souhaite introduire.
« La productivité se conjugue en termes d’avoir, la convivialité en termes d’être. »Philosophe, historien, prêtre sans paroisse, enseignant nomade et polyglotte, Ivan Illich (1926-2002) fut une figure incontournable des débats intellectuels des années 1970. Implacable critique de la société industrielle, il a démontré qu’au-delà d’un certain seuil, les institutions se révèlent contre-productives. Il a dénoncé la tyrannie des besoins dictés par la société de consommation et mis en garde contre la dépendance exercée par les outils démesurés du capitalisme.Il oppose au productivisme et au culte de la croissance un art de vivre qui entremêle sobriété, simplicité et générosité. La société conviviale dessinée par Illich cherche à garantir l’autonomie et la créativité humaines.À l’heure où la technologie et l’économie ne cessent d’étendre leur emprise sur la société, Thierry Paquot nous invite à redécouvrir une pensée stimulante et anticonformiste qui accompagne aujourd’hui de nombreuses pratiques alternatives. Thierry Paquot est philosophe de l'urbain et essayiste. Professeur émérite de l'université, il est l'auteur d'une soixantaine d'ouvrages (sur l'urbanisation planétaire, l'écologie). Thierry Paquot s'intéresse aux utopies et à la géohistoire de la pensée écologique. Il fut également l'éditeur et l'ami d'Ivan Illich. Philosophe d'origine autrichienne, Ivan Illich (1926-2002) est un des grands penseurs de l'écologie politique. Ses écrits sur l'école, la santé, la convivialité, l'énergie ont suscité des débats passionnés dans les années 1970. Parmi ses ouvrages les plus connus, Une société sans école et La convivialité.
Entre 1987 et 2007, J.-C. Ballot a réalisé des reportages photographiques de villes dans le monde entier. Son regard sur le paysage urbain lui permet d'aborder la dimension scénique et symbolique de l'espace public, de parcourir la mémoire et l'histoire de la ville.
Nouvelle édition de ce parcours pédagogique à travers l'histoire et les formes des diverses utopies : le travail et les loisirs ; l'éducation, la famille et les relations amoureuses ; la ville et l'architecture, l'uchronie et la S.-F. C'est avec la publication de L'Utopie de Thomas More en 1516 que le mot se répand et que naît un genre littéraire associant critique sociale et description d'une " société heureuse ". L'utopie n'est pas une anticipation, mais un présent qui mise sur le bonheur, l'équité, l'abondance et le respect de chacun. Thierry Paquot explore diverses utopies écrites ou expérimentées qui se sont succédé depuis le XVIe siècle, en privilégiant certains thèmes : le travail et les loisirs, l'éducation, la famille et les relations amoureuses, la ville et l'architecture. L'utopie s'enrichit au XIXe siècle de l'uchronie, puis de la science-fiction, pour proposer de nouvelles alternatives à la " société de consommation ". L'utopie contient le pire et le meilleur, elle se révèle parfois autoritaire, totalitaire, culpabilisatrice, triste et uniformisante, tout comme elle peut favoriser le déploiement des désirs, démultiplier les plaisirs, répondre joyeusement aux attentes de ses membres. Ce sont ces paradoxes qu'analyse cet ouvrage documenté à l'écriture directe et passionnée, en s'attardant sur les œuvres de Thomas More, Francis Bacon, Fénelon, Diderot, Sébastien Mercier, Robert Owen, Saint-Simon, Charles Fourier, Edward Bellamy, William Morris et quelques autres " sublimes rêveurs ".
Modal verbs in English communicate delicate shades of meaning, there being a large range of verbs both on the necessity side (must, have to, should, ought to, need, need to) and the possibility side (can, may, could, might, be able to). They therefore constitute excellent test ground to apply and compare different methodologies that can lay bare the factors that drive the speaker’s choice of modal verb. This book is not merely concerned with a purely grammatical description of the use of modal verbs, but aims at advancing our understanding of lexical and grammatical units in general and of linguistic methodologies to explore these. It thus involves a genuine effort to compare, assess and combine a variety of approaches. It complements the leading descriptive qualitative work on modal verbs by testing a diverse range of quantitative methods, while not ignoring qualitative issues pertaining to the semantics-pragmatics interface. Starting from a critical assessment of what constitutes the meaning of modal verbs, different types of empirical studies (usage-based, data-driven and experimental), drawing considerably on the same data sets, shows how method triangulation can contribute to an enhanced understanding. Due attention is also given to individual variation as well as the degree to which modals can predict L2 proficiency level.
With charming urbanity and lightness of touch, Thierry Paquot argues the case for those few snatched moments of rest taken during the day in an elegantly illustrated book that will make a handsome gift for any occasion. This refreshingly original contribution to the literature of relaxation is a wonderful, sometimes erotic philosophical read that encourages us to cherish the age-old tradition of the siesta, which has ancient roots in antiquity yet is yielding even in Mediterranean lands to the tyranny of the 9-to-5 workday. Whether a heavy sleep or a five-minute doze, an afternoon nap or a mid-morning daydreaming, the siesta comes in many forms, all of which permit us to relax and reflect in the midst of a hectic daily schedule. More than that, the siesta represents the art of living ― an assertion of human autonomy in an increasingly corporatized and globalized culture. Each chapter muses on a different aspect of the siesta and celebrates the importance of “unconstructed” time as depicted in painting, literature, and philosophy throughout history. These moments of rest are a hidden muse responsible for many of our cultural monuments, and allow an intertwining of the intellectual and the erotic in everyday life. The book is punctuated with 16 illustrations depicting the art inspired by the siesta. The Art of the Siesta is a celebration of those fleeting moments when the mind is free to reflect, enjoy, and recover. As Paquot writes, “the siesta is a means for us to reclaim our own time, outside the clockmakers’ control. The siesta is our liberator.”
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