Au début, il y a la fascination. A la fin, le chagrin. Entre ces deux moments, un roman parle de l'amour à l'aube du vingt et unième siècle. Un homme n'aime pas une femme et la fait souffrir. C'est l'histoire de cette femme qui commence par être éblouie, puis se protège de l'éclat de cet homme. Mais il est trop tard, même si la femme ne s'en laisse pas conter. Elle a contre elle une rivale qui s'appelle héroïne. Et pour elle, le temps qui passe, la lucidité qui se fraie un passage. Il arrive qu'un lecteur ou une lectrice tombe amoureux d'une histoire racontée dans un livre. Et quand ce lecteur amoureux du livre essaie d'expliquer pourquoi, il est aussi démuni que celle qui raconte les premiers instants de sa passion. Elle dit fascination, un mot souvent utilisé par ceux qui décrivent ce premier stade de leur maladie amoureuse. A plusieurs reprises, elle revient sur ce mot pour expliquer au lecteur la nature du piège où lui aussi va être enfermé par la lecture du livre... La littérature, comme le cinéma, est confrontée à une accélération rythmique et à l'usage répété des ellipses. La langue ne vit pas hors de cette contamination, de ces hachures. Qui sait s'en servir réussit une œuvre. C'est la réussite du premier roman de Nathalie Chaix.
C'est l'histoire d'une transformation : d'un parc majestueux à un lieu de vie et de fin de vie. Une réflexion et un questionnement sur les nouveaux paradigmes que nous impose notre société grandissante et vieillissante.
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