En 1860, la longue agonie de la dynastie mandchoue, qui règne sur la Chine depuis des siècles, semble s'accélérer quand les troupes rebelles des Taiping marchent sur Shanghai. Dirigées par des officiers incapables et corrompus, les armées impériales ne peuvent faire face à la menace. Les hommes politiques chinois prennent conscience qu'il leur faut trouver de l'aide ailleurs. Or un étranger vient lui-même la leur proposer. Frederick Townsend Ward, jeune aventurier américain, débarque en Chine en 1859. Il a vingt-huit ans, pas un sou en poche. Lorsqu'il meurt au combat, trois ans plus tard, il est devenu sujet chinois et général de l'Armée-Toujours-Victorieuse. Comment expliquer ce destin fabuleux ? Ward a réussi à forger ce que ni la Chine ni le monde n'avaient encore vu : une armée hautement disciplinée, commandée par des officiers occidentaux, formée aux tactiques et aux armements modernes. Surnommés les " soldats du diable ", les hommes de Ward ont joué un rôle décisif dans l'issue de la guerre civile chinoise. Les très nombreux documents utilisés par Caleb Carr pour dresser le portrait du Diable blanc éclairent cette silhouette méconnue. Afin de cerner ce personnage hors du commun, l'auteur allie à son talent de romancier une érudition impressionnante.
A peine élu à la présidence des Etats-Unis, Kerry Kilcannon doit affronter une épreuve délicate : désigner un nouveau juge à la tête de la Cour suprême. Démocrate, il porte son choix sur Caroline Masters, une femme incarnant les valeurs progressistes auxquelles il croit. Mais selon la Constitution, ce choix doit être ratifié par le Sénat, à majorité républicaine. Le combat s'engage alors entre les deux camps... Il trouve son illustration sur le plan juridique lorsque Mary Ann Tierney, une mineure enceinte d'un fœtus présentant des risques d'hydrocéphalie, entame une action en justice pour obtenir le droit d'avorter malgré l'opposition de ses parents, fervents militants du mouvement pro-vie. Le procès, retransmis à la télévision, déchaîne les passions. La candidature de Caroline Masters est compromise. Les adversaires du président Kilcannon, soutenus par de puissants lobbys, utilisent le drame de Mary Ann Tierney pour porter atteinte à la légitimité du président. Une fois de plus, la question se pose : qui décide aux Etats-Unis ? Les politiques ou les hommes d'affaires qui souvent, dans l'ombre, ont assuré leur élection à coups de millions de dollars ?
From 1913 through 1918, Long Beach, California, was home to the largest independent film company in the world, the largely forgotten Balboa Studio. Founder Herbert M. Horkheimer bought the studio from Edison Company in 1913, and by 1915 Balboa's expenses exceeded $2,500 a day and its output hit 15,500 feet of film per week. Bert Bracken, Fatty Arbuckle, Henry King, Baby Marie Osborne, Thomas Ince, and William Desmond Taylor began their careers with the studio. In 1918, Horkheimer stunned the industry by declaring bankruptcy, shutting down Balboa, and walking away from moviemaking. The closing of the studio effectively ended Long Beach's runs as a major film location and left many wondering about the true reasons behind Horkheimer's decision. Most of Balboa's films have been lost, and little has until now been written about the studio. This book first explores the history of filmmaking in Long Beach and then fully details the story of Balboa. The extensive filmography includes length, copyright date when available, cast and credits, and a plot summary.
Thank you for visiting our website. Would you like to provide feedback on how we could improve your experience?
This site does not use any third party cookies with one exception — it uses cookies from Google to deliver its services and to analyze traffic.Learn More.