Le 24 octobre 1940, sur le quai de la gare de Montoire, Pétain serre la main de Hitler. La France a fait le choix de la collaboration. Mais qui a intérêt à collaborer ? Les Français ou les Allemands ? Qui en sont les acteurs ? Quel rôle jouent les ultras ? Qui s'est enrichi ? Quelle est l'ampleur de la collaboration militaire ? Quel rôle a joué Vichy dans la déportation des Juifs de France et dans la répression de la Résistance ? A quel point intellectuels et artistes se sont-ils compromis ? Près de 600 documents - affiches, rapports, lettres, journaux intimes, insignes, tracts, procès-verbaux, mains courantes, pièces à conviction, registres d'écrou, albums photographiques, objets, etc. - sont ici rassemblés et commentés, suivant une trame chronologique, de juin 1940 à avril 1945. Fonds exceptionnels des Archives nationales, séries du contre-espionnage encore inexploitées du Service historique de la Défense, dossiers des Brigades spéciales des Renseignements généraux à la préfecture de police, pièces d'un des collectionneurs les plus importants de la place de Paris : avec ces archives, pour beaucoup inédites, c'est la collaboration sous toutes ses formes qui est présentée. Une somme qui fera date.
The ancient Romans changed more than the map of the world when they conquered so much of it; they altered the way historical time itself is marked and understood. In this brilliant, erudite, and exhilarating book Denis Feeney investigates time and its contours as described by the ancient Romans, first as Rome positioned itself in relation to Greece and then as it exerted its influence as a major world power. Feeney welcomes the reader into a world where time was movable and changeable and where simply ascertaining a date required a complex and often contentious cultural narrative. In a style that is lucid, fluent, and graceful, he investigates the pertinent systems, including the Roman calendar (which is still our calendar) and its near perfect method of capturing the progress of natural time; the annual rhythm of consular government; the plotting of sacred time onto sacred space; the forging of chronological links to the past; and, above all, the experience of empire, by which the Romans meshed the city state’s concept of time with those of the foreigners they encountered to establish a new worldwide web of time. Because this web of time was Greek before the Romans transformed it, the book is also a remarkable study in the cross-cultural interaction between the Greek and Roman worlds. Feeney’s skillful deployment of specialist material is engaging and accessible and ranges from details of the time schemes used by Greeks and Romans to accommodate the Romans’ unprecedented rise to world dominance to an edifying discussion of the fixed axis of B.C./A.D., or B.C.E./C.E., and the supposedly objective "dates" implied. He closely examines the most important of the ancient world’s time divisions, that between myth and history, and concludes by demonstrating the impact of the reformed calendar on the way the Romans conceived of time’s recurrence. Feeney’s achievement is nothing less than the reconstruction of the Roman conception of time, which has the additional effect of transforming the way the way the reader inhabits and experiences time.
Catàleg de l'exposició acollida a l'Arts Santa Mònica entre octubre de 2009 i ge ner de 2010 amb una selecció de fotografies d'Agustí Centelles sobre l'exili rep ublicà i la vida al camp de concentració. L'obra il·lustra l'experiència del fot operiodista i la resta d'altres refugiats al camp de concentració de Bram (Franç a), on van ser reclosos entre març i setembre de 1939. Una visió colpidora de l' exili republicà amb fotografies majoritàriament inèdites fins ara.
Il y a cinq ans, les attentats du 13 Novembre. Séisme et sidération dans tout le pays. Les plaies sont toujours à vif, l’émotion intacte. Cet ouvrage tisse en un récit saisissant des centaines de témoignages scrupuleusement recueillis, restituant de l’intérieur le déroulement des événements tels qu’ils ont été vécus, avec les mots des survivants, des témoins, des intervenants de toutes sortes (soignants, policiers, pompiers, organisations de secours – Croix-Rouge, Protection civile, etc. –, magistrats, politiques), mais aussi des proches de victimes. Pour tant de vies brisées ou marquées à jamais, il faut fixer les faits. Ce texte en est l’archive de référence. Une lecture dont on ne sort pas indemne. Ce livre est un monument à la mémoire des victimes et en l’honneur de tous ceux qui ont aidé. Laura Nattiez est docteure en sociologie de l’université Paris-V-Descartes et de l’Université autonome de Barcelone, chercheuse associée au laboratoire Cerlis (UMR 8070). Denis Peschanski est historien, directeur de recherche au CNRS, Centre européen de sociologie et de science politique (Paris-I, EHESS, CNRS). Il est coresponsable scientifique du Programme 13-Novembre et responsable de l’équipex MATRICE, auxquels sont rattachées L. Nattiez et C. Hochard. Cécile Hochard est docteure en histoire contemporaine de l’université Paris-VII-Diderot. Le bénéfice des ventes de cet ouvrage sera intégralement reversé au Programme 13-Novembre.
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