Ainsi danse le destin. Forcée de fuir la Russie après la révolution d'Octobre, la petite cousine du tsar, Zoya, quitte un conflit pour en trouver un autre. La France est en guerre et, loin de ce qu'elle imaginait, Paris ne lui offre pas le refuge qu'elle espérait. Contrainte de travailler pour subvenir aux besoins de sa famille, Zoya est d'abord engagée comme modiste puis, au désespoir de sa grand-mère, attachée aux convenances de son rang, comme ballerine. Mais Zoya n'en a que faire, elle qui ne vit que pour la danse. Malheureusement, la jeune femme n'est pas au bout de ses peines. Après le décès de son aïeule, elle quitte la France pour les Etats-Unis. Elle y vivra les années folles et la Grande Dépression et, le quotidien de millions de personnes qui, là-bas aussi, partagent la même obsession : survivre. Mais Zoya ne baisse pas les bras, elle a désormais une famille dont elle doit prendre soin. Zoya aura été à la fois le témoin et l'actrice de ces évènements qui ont bouleversé l'ordre du monde. Une vie exemplaire, une héroïne bouleversante.
Une violente tempête à San Francisco va bouleverser la vie de trois personnes qui n'étaient pas destinées à se rencontrer. Pour Quinn Thompson, la tempête aura pour conséquence de faire tomber les barrières qu'il a érigées autour de lui depuis la mort de sa femme. Pour sa voisine, Maggie Dartman, elle sera le point de départ d'une amitié surgissant à point nommé dans sa vie. Et pour Jack Adams, le charpentier chargé de réparer les maisons de Quinn et de Maggie, elle sera une occasion unique d'aider deux personnes et de recevoir en retour le plus beau des cadeaux. A mesure que des liens se tissent entre ces trois personnages, quelque chose d'extraordinaire se produit. Maggie renaît à la vie et Jack partage enfin le lourd secret qu'il cachait depuis des années. Quant à Quinn. Cet homme, ronge par la culpabilité d'avoir sacrifié sa famille à sa carrière n'aspire plus qu'à partir à bord d'un voilier pour faire un tour du monde en solitaire.
An innovative analysis of Indigenous strategies for overcoming the settler state. How do bureaucratic documents create and reproduce a state’s capacity to see? What kinds of worlds do documents help create? Further, how might such documentary practices and settler colonial ways of seeing be refused? Settler Colonial Ways of Seeing investigates how the Canadian state has used documents, lists, and databases to generate, make visible—and invisible—Indigenous identity. With an archive of legislative documents, registration forms, identity cards, and reports, Danielle Taschereau Mamers traces the political and media history of Indian status in Canada, demonstrating how paperwork has been used by the state to materialize identity categories in the service of colonial governance. Her analysis of bureaucratic artifacts is led by the interventions of Indigenous artists, including Robert Houle, Nadia Myre, Cheryl L’Hirondelle, and Rebecca Belmore. Bringing together media theories of documentation and the strategies of these artists, Settler Colonial Ways of Seeing develops a method for identifying how bureaucratic documents mediate power relations as well as how those relations may be disobeyed and re-imagined. By integrating art-led inquiry with media theory and settler colonial studies approaches, Taschereau Mamers offers a political and media history of the documents that have reproduced Indian status. More importantly, she provides us with an innovative guide for using art as a method of theorizing decolonial political relations. This is a crucial book for any reader interested in the intersection of state archives, settler colonial studies, and visual culture in the context of Canada’s complex and violent relationship with Indigenous peoples.
This book provides a range of perspectives offering valuable insights, suggestions and advice to stimulate ideas for establishing, growing and modifying a Child Advocacy Centre (CAC) model and multi-agency collaboration in order to build capacity to respond to the incredibly diverse types of cases, children, youth and families that come through a CAC’s doors.
I am a writer because I was a reader first." Alison Gordon. "Nobody has ever written who never read." Mavis Gallant. "Reading is a connection, at once a way and a goal, a liberating destiny." Robert Kroetsch. Over 160 Canadian writers, in English and French, write about their experiences of reading. With striking photographs of each writer, Reading Writers Reading offers a sublime voyage into the heart of literary creation.
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